Blocage complet. « Si le concept de flexibilisation du temps de travail revient uniquement à supprimer les majorations de salaire et à allonger le temps de travail, nous ne signerons aucun accord », a fait savoir Peter Schleinbach, responsable des négociations avec six fédérations patronales pour le syndicat PRO-GE. En novembre 2009, les partenaires sociaux du secteur avaient signé, sur fond de grèves d’avertissement, un accord collectif sur les salaires concernant 170 000 salariés (voir dépêche n° 091046). Sous la pression des syndicats, les fédérations patronales avaient alors accepté de négocier séparément la question de la flexibilisation du temps de travail. Le 31 mars avait été choisi comme date ultime pour négocier ce nouvel accord. Mais cette négociation a échoué, les deux parties en présence n’ayant guère bougé de leurs positions initiales.
aucun accord », a fait savoir Peter Schleinbach, responsable des négociations avec six fédérations patronales pour le syndicat PRO-GE. En novembre 2009, les partenaires sociaux du secteur avaient signé, sur fond de grèves d’avertissement, un accord collectif sur les salaires concernant 170 000 salariés (voir dépêche n° 091046). Sous la pression des syndicats, les fédérations patronales avaient alors accepté de négocier séparément la question de la flexibilisation du temps de travail. Le 31 mar
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