Coller au plus près de la demande. « Lorsqu’on lance la production d’un nouveau modèle, la demande est très élevée, tout le monde veut se procurer la toute dernière voiture à la mode. Après ce pic de production, la demande ralentit souvent, et donc la production est moins élevée qu’au moment du lancement. Au lieu de mettre les salariés au chômage technique, ils peuvent tout simplement récupérer des heures qu’ils avaient travaillées en plus pendant la période de rush. Cela fonctionne en fait comme un compte bancaire mais au lieu d’épargner de l’argent, on épargne des heures de travail. Ce dispositif permet de coller au plus près de la demande, avec un salaire moyen constant pendant les six prochaines années » explique Christine Germain, responsable de la communication chez Audi.
pendant la période de rush. Cela fonctionne en fait comme un compte bancaire mais au lieu d’épargner de l’argent, on épargne des heures de travail. Ce dispositif permet de coller au plus près de la demande, avec un salaire moyen constant pendant les six prochaines années » explique Christine Germain, responsable de la communication chez Audi.
Une première en Belgique. Si ce nouveau type de flexibilité existe déjà dans les usines Audi en Allemagne et en Hongrie, le site de Forest est le premier à
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