Les principales centrales syndicales et organisations sociales du Brésil ont organisé, vendredi 30 juin, des manifestations dans les principales villes du pays, dans ce qui été d'abord présenté comme une nouvelle grève générale, contre la réforme du code du travail et celle des retraites. Des désaccords entre les syndicats a finalement rendu le mouvement moins suivi que la précédente journée de mobilisation qui avait eu lieu le 28 avril dernier.
Cette mobilisation n’a rassemblé que quelques milliers de manifestants dans chaque ville et une grande partie des transports publics n’ont pas été paralysés, à part à Brasilia. Les responsables syndicaux se sont divisés sur la question d’inclure ou non dans les manifestations des mots d’ordre directement à l’encontre du Président Temer, accusé formellement de corruption par le Procureur général de la République la même semaine.
D’après la presse nationale, la faible participation...
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