Cette mobilisation n’a rassemblé que quelques milliers de manifestants dans chaque ville et une grande partie des transports publics n’ont pas été paralysés, à part à Brasilia. Les responsables syndicaux se sont divisés sur la question d’inclure ou non dans les manifestations des mots d’ordre directement à l’encontre du Président Temer, accusé formellement de corruption par le Procureur général de la République la même semaine.
D’après la presse nationale, la faible participation s’expliquerait é
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