L’emploi et la reprise économique, des priorités qui supplantent la réforme du droit du travail. Suite à des dissenssions au sein de la coalition gouvernementale formée par quatre partis, la Présidente chilienne, Michelle Bachelet, a décidé de suspendre son projet de réforme de la loi sur la négocation collective, qu’elle s’était engagée à envoyer au Parlement pour mai 2009. A quelques semaines des élections présidentielles du 13 décembre, plusieurs collaborateurs de Mme Bachelet ont expliqué que le gouvernement se trouvait à court de temps pour faire débattre et voter la loi avant que la présidente ne passe le flambeau à son successeur, en mars 2010. Dans l’immédiat, l’exécutif s’est fixé d’autres priorités que la réforme du droit du travail, telles que la relance de l’économie et la lutte contre le chômage, qui affecte 800 000 Chiliens.
Publication
28 septembre 2009 à 08h54
Mis à jour le 30 août 2019 à 11h24
Temps de lecture
3 minutes
Publication:
28 septembre 2009 à 08h54, Mis à jour le 30 août 2019 à 11h24
Temps de lecture:
3 minutes
Cet article vous est offert gratuitement par la rédaction, car vous êtes actuellement en période d'essai.
Vous avez accès à nos contenus pendant 1 mois.
entielles du 13 décembre, plusieurs collaborateurs de Mme Bachelet ont expliqué que le gouvernement se trouvait à court de temps pour faire débattre et voter la loi avant que la présidente ne passe le flambeau à son successeur, en mars 2010. Dans l’immédiat, l’exécutif s’est fixé d’autres priorités que la réforme du droit du travail, telles que la relance de l’économie et la lutte contre le chômage, qui affecte 800 000 Chiliens.
Réforme hypothétiquement reportée à 2010. Les responsables gouvern
…