Le CE européen s’était déjà fait la main au moment de la fermeture de plusieurs entités de CACIB, la banque d’investissement du groupe Crédit Agricole. Dans ce contexte, il a obtenu de la direction du groupe qu’elle s’engage à respecter un socle minimum en matière d’accompagnement social, qui allait bien au-delà des minima locaux, pour les 200 salariés hongrois, tchèques et slovaques affectés. Forte de cette expérience, l’instance européenne a atteint son objectif de parvenir au même résultat pour l’arrêt des activités de crédit à la consommation (Credium) en République tchèque et Slovaquie. (Réf. 130510)
Dans son avis rendu début juillet dans le cadre de la procédure de consultation sur l’arrêt des activités de crédit à la consommation (Credium) en République tchèque et en Slovaquie, le comité européen du groupe bancaire français déclare qu’il n’est pas convaincu par « les arguments qui amènent à la fermeture pure et simple d’une entreprise et au licenciement de ses salariés. » Selon les représentants européens, « il s’agit d’une décision politique qui ne place plus la République Tchèque et la
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