« Nous nous sommes répartis les rôles, dit Ed Sabol, permanent du syndicat CWA : à Ver.di de négocier avec la direction, à CWA d'organiser les troupes. » Les magasins T Mobile et call-centers installés aux États-Unis sont interdits aux militants du syndicat transatlantique T-Union (v. dépêche n°080285) car considérés comme « propriété privée ». Mais les contacts sont maintenus par téléphone, SMS et Internet, ce qui a permis récemment une discrète réunion de représentants de Ver.di avec des employés de T Mobile. « Le cadre législatif actuel est très dur. C'est difficile d'être reconnu dans une entreprise », avoue Ed Sabol. Mais il s'obstine pour créer aux États Unis le même climat social qu'en Allemagne.
Publication
1 mars 2010 à 07h55
Mis à jour le 24 mars 2013 à 17h08
Temps de lecture
3 minutes
Publication:
1 mars 2010 à 07h55, Mis à jour le 24 mars 2013 à 17h08
Temps de lecture:
3 minutes
Cet article vous est offert gratuitement par la rédaction, car vous êtes actuellement en période d'essai.
Vous avez accès à nos contenus pendant 1 mois.
ts aux militants du syndicat transatlantique T-Union (v. dépêche n°080285) car considérés comme « propriété privée ». Mais les contacts sont maintenus par téléphone, SMS et Internet, ce qui a permis récemment une discrète réunion de représentants de Ver.di avec des employés de T Mobile. « Le cadre législatif actuel est très dur. C’est difficile d’être reconnu dans une entreprise », avoue Ed Sabol. Mais il s’obstine pour créer aux États Unis le même climat social qu’en Allemagne.
Des pratiques d
…