En Californie, la responsabilité de l’employeur final de salariés temporaires peut aussi être invoquée en matière de rémunération et de respect des temps de travail, et plus seulement en cas d’accident sur le lieu de travail. La nouvelle législation s’inscrit dans une série de mesures prises en faveur des salariés (sur le salaire minimum, les congés maladie…).
Une nouvelle loi californienne pourrait donner des maux de têtes aux sociétés faisant appel à de la main-d’œuvre temporaire, tout en faisant avancer la cause des intérimaires aux Etats-Unis, à laquelle le mouvement social américain prête une attention particulière, du fait de leur poids croissant dans la population active, notamment au sein d’entreprises emblématiques comme Amazon ou chez des prestataires de Walmart. « En 2013, il y avait près de 2,7 millions de salariés dans l’intérim,...
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