Un nouveau programme de dénonciation est en phase de test outre-Atlantique. Les lanceurs d’alerte pourraient bientôt être rémunérés en signalant des manquements au sein des entreprises et des institutions financières.
Le 7 mars dernier, la procureure générale adjointe Lisa Monaco a annoncé le test d’un dispositif pilote destiné à mieux démasquer les manquements dans les entreprises. Notamment en récompensant les « whistleblower » (en français : les lanceurs d’alerte). C’est-à-dire les personnes signalant au ministère de la Justice d’éventuelles « fautes professionnelles importantes » survenues au sein d’une entreprise ou d’une institution financière. Ou encore une entreprise dénonçant un employé qui...
Vous lisez cet article grâce à votre abonnement.
Explorez de nouveaux horizons en consultant nos autres verticales :
Vous avez une information à nous partager ?