L’accord dont le contenu n’a pas été révélé publiquement, a été officiellement accepté par toutes les parties vendredi 19 mars. Il met un terme au blocage des ports qui paralysait une partie de l’économie finlandaise et préoccupait particulièrement l’industrie papetière. Les négociations portaient sur le calcul des indemnités de licenciement, la flexibilité des horaires de travail et le recours à la sous-traitance.
grève, ce conflit illustre à lui seul combien le dialogue social s’est profondément détérioré en Finlande depuis le début de la crise financière. En attendant les grèves annoncées dans la chimie, le premier ministre Matti Vanhanen s’est également prononcé en faveur d’un encadrement plus strict du droit de grève, le justifiant par le fait que les actions comme celle des dockers mettent en péril la confiance des clients et investisseurs étrangers dans le pays. (Réf. 100251)
L’accord dont le conten
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