A l'approche des fêtes de fin d'année, la presse et les sociétés de conseils multiplient les avertissements aux employeurs pour s'éviter une "gueule de bois" après la soirée de Noël de l'entreprise. L'alcool aidant, elles prennent souvent des allures de défouloir lorsque le flirt policé fait place à des avances plus franches, que les langues se délient, que les mauvaises blagues et les réflexions fusent et que les esprits s'échauffent. (Réf. 061197)
Une pratique a priori anodine qui peut s’avérer être une véritable bombe à retardement. « Alors que ces soirées tournent couramment à la débauche, les employés sont de moins en moins prêts à supporter des comportements déplacés », prévient le Guardian. Et de fait, les employeurs craignent de plus en plus les plaintes pour harcèlement ou discrimination, voire pour empoisonnement, à la suite de ces soirées (au point que 9 sur 10 auraient envisagé de l’annuler, selon une étude du cabinet Croner).
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