Consultation courte. Dans le cadre de cette nouvelle législation (v. dépêche n° 100293), la formation demandée par l’employé doit être bénéfique à l’entreprise et à lui-même ; en cas de refus, l’employeur doit détailler par écrit sa décision. Pour les entreprises de moins de 250 personnes, ce droit devrait entrer en vigueur en avril 2011. Une application mise en péril par le nouveau gouvernement britannique, qui souhaite recueillir les avis des acteurs du monde du travail via une consultation plus courte que d’habitude – elle se termine le 15 septembre. Le ministre concerné, John Hayes, s’est montré prudent sur une éventuelle suppression : « Avant de prendre une décision sur le futur du droit de demander du temps pour se former, il est important que nous évaluons les avis sur cette réglementation et la possibilité qu’elle améliore les opportunités de formation pour les employés. » Pour cela, le gouvernement consulte les parties prenantes sur l'opportunité de supprimer ce droit, de le maintenir pour les entreprises de plus de 250 salariés ou de l'étendre aux plus petites comme le prévoit la législation actuelle.
suppression : « Avant de prendre une décision sur le futur du droit de demander du temps pour se former, il est important que nous évaluons les avis sur cette réglementation et la possibilité qu’elle améliore les opportunités de formation pour les employés. » Pour cela, le gouvernement consulte les parties prenantes sur l’opportunité de supprimer ce droit, de le maintenir pour les entreprises de plus de 250 salariés ou de l’étendre aux plus petites comme le prévoit la législation actuelle.
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