Une pause dans le travail. Alors qu’elle prédit plus de trois millions de chômeurs en 2010, l’organisation patronale CBI appelle, dans un communiqué, le gouvernement à instaurer un programme intitulé « l’alternative au licenciement » qui ne correspondrait ni au chômage partiel (au cours duquel l'employeur doit maintenir la rémunération sauf disposition particulière du contrat de travail), ni aux subventions salariales. Les entreprises pourraient ainsi avoir le choix de suivre le processus classique de licenciement, ou bien de placer l’employé concerné dans ce programme alternatif, pour une période s’étendant jusqu’à six mois pendant laquelle il ne travaillerait pas. L'intéressé recevrait une indemnité équivalente au double de l’allocation chômage, payée moitié par le gouvernement, moitié par l’employeur. Pendant cette période, l’employé inactif aurait le droit de chercher un nouvel emploi. A la fin de cette période, ou avant si les affaires s’améliorent plus vite que prévu, l’entreprise pourrait réintégrer l’employé. A l’opposé, si la situation économique ne se redresse pas, le processus de licenciement – dont tous les droits seraient préservés - pourrait alors être enclenché, intégrant les six mois du programme alternatif.
ndant cette période, l’employé inactif aurait le droit de chercher un nouvel emploi. A la fin de cette période, ou avant si les affaires s’améliorent plus vite que prévu, l’entreprise pourrait réintégrer l’employé. A l’opposé, si la situation économique ne se redresse pas, le processus de licenciement – dont tous les droits seraient préservés – pourrait alors être enclenché, intégrant les six mois du programme alternatif.
Réduire la durée de consultation avant le licenciement. Une autre mesure p
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