Les réactions pleuvent depuis l'annonce, le 18 avril dernier, de la fermeture de l'usine PSA de Ryton (v. notre dépêche n°06380). Les syndicats sont prêts à passer à l'offensive tandis que le chef du gouvernement, Tony Blair, ne prend pas parti. (Réf. 06390)
L’annonce de la fermeture de l’usine Peugeot de Ryton, qui fabrique la 206 et emploie 2 300 personnes (v. notre dépêche n°06380) a immédiatement soulevé la colère des syndicats, qui « n’excluent pas de se mettre en grève » et évoquent la possibilité d’actions conjointes avec leurs homologues français et européens. La réaction peut sembler faible mais, dans ce pays, le processus de grève est complexe et extrêmement réglementé. Ils ont promis cependant de se battre pour faire changer d’avis ...
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