Le plus grand effort est demandé à la fonction publique (plus 7,6 milliards d’euros), avec la poursuite de la baisse des salaires et la suppression de 80 000 postes sur la base du remplacement d’1 fonctionnaire sur 5 partant à la retraite. Mais le secteur privé est profondément touché aussi, avec des mesure telles la mise en place à partir d’avril d’un nouveau salaire minimum diminué (mensuel et journalier), désormais sans revalorisation automatique « tant que le chômage ne descendra pas en dessous de 10 % », de nouvelles baisses de salaires (suivant les branches), le report de l'âge légal de départ à la retraite de 65 à 67 ans pour tous, l’augmentation progressive de la durée de cotisation (de 37 à 40 ans), une diminution de 5 à 25 % prévue pour les retraites au-dessus de 1000 euros, ainsi que la réduction des retraites complémentaires et de l’EFAPAX (retraite capitalisée durant les années de travail).
Publication
8 novembre 2012 à 09h13
Mis à jour le 24 mars 2013 à 21h33
Temps de lecture
4 minutes
Publication:
8 novembre 2012 à 09h13, Mis à jour le 24 mars 2013 à 21h33
Temps de lecture:
4 minutes
Cet article vous est offert gratuitement par la rédaction, car vous êtes actuellement en période d'essai.
Vous avez accès à nos contenus pendant 1 mois.
ng>
Le plus grand effort est demandé à la fonction publique (plus 7,6 milliards d’euros), avec la poursuite de la baisse des salaires et la suppression de 80 000 postes sur la base du remplacement d’1 fonctionnaire sur 5 partant à la retraite. Mais le secteur privé est profondément touché aussi, avec des mesure telles la mise en place à partir d’avril d’un nouveau salaire minimum diminué (mensuel et journalier), désormais sans revalorisation automatique « tant que le chômage ne descendra...