Rigueur et privatisations. Dans l’immédiat, l’Eurogroupe et le FMI ont donné une bouffée d’oxygène au pays, en acceptant de débloquer début juillet la prochaine tranche (12 milliards d’euros) du plan d’aide actuel. Mais ces créanciers exigent qu’en contrepartie, le gouvernement grec mette en application une cure d'austérité drastique. Même s’ils reconnaissent l’ampleur des progrès réalisés par la Grèce, ils maintiennent la pression pour accélérer les réformes structurelles. Le nouveau plan de rigueur prévoit 6,4 milliards d’euros d’économies supplémentaires cette année et 22 milliards d'ici à 2015. Un calendrier précis des privatisations jusqu’alors inexistant (télécommunications, eaux, ports, aéroports, chemins de fer, banque postale, loterie, casinos, …) a été publié et une agence « indépendante » du gouvernement va être mise en place pour mener au plus vite la vente de ces actifs.
d’austérité drastique. Même s’ils reconnaissent l’ampleur des progrès réalisés par la Grèce, ils maintiennent la pression pour accélérer les réformes structurelles. Le nouveau plan de rigueur prévoit 6,4 milliards d’euros d’économies supplémentaires cette année et 22 milliards d’ici à 2015. Un calendrier précis des privatisations jusqu’alors inexistant (télécommunications, eaux, ports, aéroports, chemins de fer, banque postale, loterie, casinos, …) a été publié et une agence « indépendante » du
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