En octobre 2005, Inditex a rejoint l’Ethical Trading Initiative (ETI), l’organisation qui regroupe les grandes entreprises de distributeurs et de fournisseurs, ainsi que des syndicats et des ONG, afin d’améliorer les conditions de vie des travailleurs. Depuis cette date, les responsables de son département de RSE ont organisé une série de rencontres en présence des représentants du syndicat espagnol, avec les fournisseurs, en Chine, en Turquie, au Maroc et au Portugal notamment, afin de veiller au respect du code de bonne conduite exigé par le groupe. Selon ce code, les fournisseurs reçoivent des qualifications de A à D en fonction de la qualité des conditions de travail et de sécurité observées, l’hygiène, les horaires abusifs, les salaires sous le minimum légal ou la présence ou non d’enfants en âge scolaire (détectée dans 3% des cas). En 2006, Inditex a coupé sa relation avec quelques 300 ateliers des 1700 que comptait alors son réseau de production mondial.
Publication
4 juillet 2007 à 10h39
Mis à jour le 24 mars 2013 à 18h26
Temps de lecture
3 minutes
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4 juillet 2007 à 10h39, Mis à jour le 24 mars 2013 à 18h26
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icale internationale du secteur, et d’Isidor Boix, secrétaire d’action syndical de FITEQA-CCOO, le syndicat majoritaire chez Inditex en Espagne, où se trouve la direction de la multinationale. Des audits vérifieront régulièrement le respect des normes éthiques, à la fois en matière de respect de l’environnement et de respect du droit des travailleurs, afin de déterminer si une entreprise reçoit, ou non, le label « fibre citoyenne ».
Plusieurs interventions pour faire respecter les droits...