L’accord cadre national, signé le 23 février par DHL Express Italy et les syndicats Filt-Cgil, Fit-Cisl et Uiltrasporti, définit une phase expérimentale du 1er avril au 31 décembre 2022. Elle s’achèvera donc après la fin de l’état d’urgence sanitaire, fixée au 31 mars. Le smart working concernera potentiellement 2 000 travailleurs environ (ceux dont l’activité est compatible avec le travail à distance, qu’ils soient salariés du groupe ou d’agences d’intérim) sur les quelque 9 000 personnes qui travaillent directement ou indirectement pour DHL Express en Italie. L’accord prévoit l’adhésion volontaire de la part des personnes, qui pourront travailler à distance entre 20 et 50% du temps de travail (jusqu’à 80% pour les travailleurs des services Custom et CS Custom). Les salariés concernés recevront une formation et pourront exercer leur activité de n’importe quel lieu, à partir du moment où est garantie la sécurité des personnes, des données et des outils de travail. Les horaires correspondront aux horaires en présence et pourront être modifiés, en accord avec le responsable direct, uniquement sur demande du salarié. Les partenaires sociaux se rencontreront au plus tard en novembre pour évaluer l’expérience. Les syndicats ont salué un accord important, qui montre que le travail à distance peut être étendu au secteur logistique. Selon Nazzarena Franco, CEO de DHL Express Italy, l’accord « représente un exemple d’avant-garde » pour l’entreprise et pour le pays.
Italie : DHL Express expérimente le smart working
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