Une augmentation discrétionnaire des salaires. Selon le secrétaire général de l'Uilm, Antonino Regazzi, c’est l’initiative de Fiat, qui a décidé de façon unilatérale d’augmenter ses salariés de 30 euros par mois en anticipation des revendications syndicales, qui a mis le feu au poudre. En effet, plusieurs entreprises ont suivi cette pratique, en accordant des augmentations de quelques dizaines d’euros à leurs salariés, des augmentations que les syndicats ont qualifiées de « pourboires », alors que les salaires en Italie seraient les « plus bas par rapport aux principaux pays d’Europe ». En signe de protestation, les métallurgistes ont exposé devant le siège de l’Unione Industriale de Turin leurs bulletins de salaires (en moyenne entre 1296 euros après 25 ans de travail et 928 euros à l’embauche) et ont réclamé des « salaires égaux à ceux pratiqués en France et en Allemagne ».
euses manifestations et autres formes de mobilisations ont eu lieu dans toutes les régions italiennes.
Une augmentation discrétionnaire des salaires. Selon le secrétaire général de l’Uilm, Antonino Regazzi, c’est l’initiative de Fiat, qui a décidé de façon unilatérale d’augmenter ses salariés de 30 euros par mois en anticipation des revendications syndicales, qui a mis le feu au poudre. En effet, plusieurs entreprises ont suivi cette pratique, en accordant des augmentations de quelques dizaines
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