« Une contribution afin que le parlement s’attaque avec volontarisme au thème de la formation permanente ». C’est ainsi que le secrétaire général de la CGIL, Guglielmo Epifani, a défini la proposition de loi d’initiative populaire sur le droit à la formation permanente qu’il a présenté, le 18 janvier, au président de la chambre des députés, Gianfranco Fini. Après six mois de campagne (v. dépêche n°090639), la CGIL a récolté plus de 130000 signatures certifiées (presque trois fois les 50000 signatures nécessaires pour la présentation d’un projet de loi d’initiative populaire), pour sa proposition de loi. Cette proposition vise à mettre en place un système national de formation des adultes et offrir un cadre national pour la coordination des formations existantes. La CGIL veut ainsi combler le grave retard de l’Italie en la matière, régulièrement constaté par l’OCDE.
fiées (presque trois fois les 50000 signatures nécessaires pour la présentation d’un projet de loi d’initiative populaire), pour sa proposition de loi. Cette proposition vise à mettre en place un système national de formation des adultes et offrir un cadre national pour la coordination des formations existantes. La CGIL veut ainsi combler le grave retard de l’Italie en la matière, régulièrement constaté par l’OCDE.
La révision de la formation des salariés. La proposition de loi de la CGIL gara
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