Les « smart workers » de Michelin pourront travailler à distance jusqu’à 60% de leur temps de travail et bénéficieront d’un droit à la déconnexion strictement encadré. Par ailleurs, à titre expérimental, et pendant un an, l’ensemble des salariés ne sera plus tenu de pointer. Tels sont les points clés de l’accord, signé le 7 janvier par la direction de la filiale italienne du fabricant de pneumatiques et les syndicats Filctem-Cgil, Femca-Cisl et Uiltec, qui met en place le travail hybride post-pandémie.
Selon le préambule de l’accord, « l’objectif est d’obtenir le meilleur équilibre possible entre vie privée et vie professionnelle », tout en considérant que « la socialisation sur le lieu de travail continue à être indispensable ». Les travailleurs qui, sur la base du volontariat, choisiront le smart working pourront travailler à distance jusqu’à 60% de leur temps de travail. Comme prévu dans la convention collective, la journée de travail reste fixée à 8 heures. L’accord individuel...
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