L’accord signé le 8 mars par la direction et les syndicats FIOM-Cgil, FIM-Cisl et UILM permettra à plus de la moitié des travailleurs (de 17 000 à 19 000 personnes sur les 30 000 salariés que compte le groupe en Italie), sur la base du volontariat, de travailler à distance 8 jours par mois, voire 10 pour certains secteurs ou activités.
Durant les journées de travail à distance, les salariés pourront choisir leur lieu de travail (à condition que ce ne soit pas un lieu public) et leurs horaires au sein de la tranche 8h-19h30. L’accord garantit le droit à la déconnexion entre 19h30 et 8h. Deux heures supplémentaires de déconnexion par jour pourront être accordées aux parents et aux salariés aidants. Le smart working devient une modalité d’organisation stable, au-delà de la pandémie. Comme l’a commenté Antonio Liotti, Chief Peopl
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Auteur.e.s de l’article
Hélène Martinelli
Pigiste