L'échéance du 30 juin s'approche mais la vaste majorité des 11 millions de salariés italiens concernés n'a pas encore décidé que faire de leur TFR (« trattamento di fine rapporto », institué en 1982 dans le but de créer une rémunération différée dans le temps, sorte d'épargne forcée garantie par l'État). La nouvelle loi oblige les salariés du secteur privé à choisir entre le garder en entreprise comme dans le passé ou le verser dans un fonds de pension (v. dépêche n°061085). (Réf. 070545)
Le TFR actuel correspond à la somme du 6.91 % du salaire annuel brut par année travaillée, plus un rendement qui couvre 75 % de l’inflation, plus 1,5 % qui garantit un capital au salarié. A chaque changement d’entreprise le salarié peut le toucher et décider que faire de l’argent, tandis que s’il choisit aujourd’hui un fonds de pension il devra attendre l’âge de la retraite pour obtenir la rente totale. D’autre part, si la décision de garder le TFR en entreprise est réversible (le salarié pour
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