Une solution pour les précaires. Cette nouvelle réunion devra également aborder la question des travailleurs précaires au sein de Fiat, qui ont été les protagonistes des mobilisations spectaculaires dans les dernières semaines. Ainsi, dans l’établissement de Termini Imerese les 18 salariés de la société de nettoyage sous-traitante, licenciés à partir du 1er février étaient montés sur le toit de l’un des ateliers (méthode de lutte en expansion fulgurante : voir dépêche N°091067), le 19 janvier dernier, décidé à n’en descendre qu’avec « la certitude du travail, ou dans un cercueil ». Les conditions dramatiques de leur lutte avaient suscité un grand écho. La semaine dernière leurs épouses et d’autres citoyens avaient organisé un rassemblement permanent devant l’entrée de l’établissement, empêchant pendant deux jours l’approvisionnement des ateliers. Fiat avait répondu en suspendant la production et en portant plainte contre les protestataires. Mais les ouvriers sont descendus du toit seulement, après la réunion du 29 janvier, grâce à laquelle ils ont obtenu la révocation du licenciement et l’octroi d’une CIG dérogatoire, ainsi que l’engagement de la Région sicilienne de les inclure dans les plans sociaux mis en place à l’avenir pour les salariés directs de Fiat.
blissement en 2012.
Une solution pour les précaires. Cette nouvelle réunion devra également aborder la question des travailleurs précaires au sein de Fiat, qui ont été les protagonistes des mobilisations spectaculaires dans les dernières semaines. Ainsi, dans l’établissement de Termini Imerese les 18 salariés de la société de nettoyage sous-traitante, licenciés à partir du 1er février étaient montés sur le toit de l’un des ateliers (méthode de lutte en expansion fulgurante : voir dépêche N°0910
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