Poser un plafond aux rémunérations des top managers et des hauts dirigeants « protégerait les banques de la concurrence déloyale sur la surenchère des compensations », et valorisait « en termes d’équité et de justice sociale » l’action du gouvernement, de la Banque d’Italie et de l’Abi, pour favoriser la sortie de la crise. Telle est l’argumentation des sept syndicats du secteur bancaire – Dircredito, Fabi, Fiba-Cisl, Fisac-CGIL, Sinfub, UGL Credito, Uilca-UIl -, qui, le 15 mars, ont envoyé une lettre ouverte au président du Conseil italien, Mario Monti, au gouverneur de la Banque d’Italie, Ignazio Visco et au président de l’association patronale Abi, Giuseppe Mussari, demandant que le rapport maximal entre le salaire du personnel et celui du top management et des hauts dirigeants soit proportionné de 1 à 20. Aujourd’hui, soulignent-ils, ce rapport est de 1 à 50 en moyenne.
i, pour favoriser la sortie de la crise. Telle est l’argumentation des sept syndicats du secteur bancaire – Dircredito, Fabi, Fiba-Cisl, Fisac-CGIL, Sinfub, UGL Credito, Uilca-UIl -, qui, le 15 mars, ont envoyé une lettre ouverte au président du Conseil italien, Mario Monti, au gouverneur de la Banque d’Italie, Ignazio Visco et au président de l’association patronale Abi, Giuseppe Mussari, demandant que le rapport maximal entre le salaire du personnel et celui du top management et des hauts...
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