Malgré la fronde d'organisations affiliées et de syndicats indépendants du secteur public (syndicats d'enseignants, des professions médicales, de la police, v. dépêche n°090956), la Confédération des organisations syndicales de Lituanie LPSK – la plus grosse centrale du pays avec plus de 100 000 adhérents – a fini par apposer sa signature à l’accord national. Pour son secrétaire général, Artūras Černiauskas, il s'agit non pas d'approuver le contenu du texte, mais de se donner les moyens de « contrôler le gouvernement » : en effet, l’accord oblige le gouvernement à se concerter avec les signataires de l’accord avant de proposer au Parlement ou de mettre en œuvre des mesures dans le domaine social. Par ailleurs, pour faciliter l'accord avec les syndicats, le gouvernement a finalement renoncé à faire passer des amendements au Code du Travail (facilitant les baisses de salaire) qui n'avaient pas été approuvés par le Conseil Tripartite associant l'Etat et les partenaires sociaux.
, Artūras Černiauskas, il s’agit non pas d’approuver le contenu du texte, mais de se donner les moyens de « contrôler le gouvernement » : en effet, l’accord oblige le gouvernement à se concerter avec les signataires de l’accord avant de proposer au Parlement ou de mettre en œuvre des mesures dans le domaine social. Par ailleurs, pour faciliter l’accord avec les syndicats, le gouvernement a finalement renoncé à faire passer des amendements au Code du Travail (facilitant les baisses de salaire) q
…Vous avez une information à nous partager ?