Revendications patronales. Créées dans les années 70 en pleine crise de la sidérurgie européenne, ces négociations « de crise » se déroulent dans le cadre d'un « comité de coordination nationale » qui rendra ses conclusions le 27 avril. Mais pour l'heure les partenaires sociaux sont loin de parvenir à un accord. L'indexation des salaires et des pensions reste l'éternelle pomme de discorde entre le patronat qui souhaite geler le mécanisme pour deux ans et les organisations syndicales qui considèrent le système d'indexation comme l'un des piliers du modèle social luxembourgeois. Autres revendications patronales jugées intolérable par l'OGBL, le syndicat majoritaire du pays, la baisse des salaires de 10 à 20%, l'extension de la flexibilité du temps de travail et la non-augmentation de la part patronale des cotisations sociales. L'objectif de compétitivité est au cœur des demandes patronales. « Le président de l'UEL (l'Union des Entreprises Luxembourgeoises) est le pdg d' Arcelor Mittal au Luxembourg et pense comme un patron de multinationale dont l'obsession est de réduire les coûts » s'indigne Mil Lorang, à l'OGBL.
avail et la non-augmentation de la part patronale des cotisations sociales. L’objectif de compétitivité est au cœur des demandes patronales. « Le président de l’UEL (l’Union des Entreprises Luxembourgeoises) est le pdg d’ Arcelor Mittal au Luxembourg et pense comme un patron de multinationale dont l’obsession est de réduire les coûts » s’indigne Mil Lorang, à l’OGBL.
Marché du travail. Pour les syndicats, la gestion de la crise économique passe par des mesures en faveur du marché du travail. Une
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