« Beaucoup de bruits pour rien ». Ce serait la conclusion de ces négociations 2016 qui, commencées dans la cacophonie générale et un vent de dissidence, se terminent plus sagement. Les syndicats frondeurs ont choisi finalement de se conformer aux références salariales négociées par les syndicats dans l’industrie qui ont fixé une augmentation salariale de 2,2% pour un accord d’une durée d’un an.
La voix de la raison. Les syndicats s’étaient avancés en ordre dispersé dans les négociations puisque contrairement aux habitudes, plusieurs d’entre eux, comme les syndicats Byggnads (syndicat des salariés de la construction) ou Målareförbundet (syndicat des peintres), souhaitaient pour une fois jouer cavalier seul, peser différemment sur les négociations et tenter d’obtenir des augmentations distinctes au regard de leurs particularités. Mais suite à la conclusion de l’accord du 31 mars...
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