D’importants bénéfices dans un secteur qui emploie moins. Le rapport note à titre introductif que les bénéfices nets du secteur des télécoms étaient en 2005 de 190.3 milliards d’euros dont 136 milliards générés par les « big five », c’est-à-dire le Royaume-Uni, l’Allemagne, la France, l’Italie et l’Espagne. Il relève en outre que si le secteur a connu une croissance continue entre 2000 et 2005, il connaît un ralentissement depuis cette date, aggravé par la crise économique qui touche en particulier les opérateurs fixes. Les opérateurs mobiles résistent davantage grâce notamment à des coûts plus flexibles. Les télécoms comptent à peu près 29 000 entreprises en Europe et connaissent ces dernières années une croissance de l’emploi ralentie, voire nulle, surtout dans les nouveaux Etats membres. Par ailleurs l’emploi compte pour moitié, sinon plus dans les nouveaux Etats membres, de travailleurs d’un niveau de qualification moyen. Il reste quelques emplois de faible qualification mais la plupart a disparu durant la dernière décennie.
e croissance de l’emploi ralentie, voire nulle, surtout dans les nouveaux Etats membres. Par ailleurs l’emploi compte pour moitié, sinon plus dans les nouveaux Etats membres, de travailleurs d’un niveau de qualification moyen. Il reste quelques emplois de faible qualification mais la plupart a disparu durant la dernière décennie.
Scénarios.
Sur cette base, le rapport élabore quatre scenarios pour 2020 :
Le premier Mono-tel, présente un monde où le progrès technologique est limité et le degré
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