Devant le refus de la France, de l’Italie et de l’Allemagne de voter la proposition de directive sur le devoir de vigilance, cette dernière n’a pas été soumise au vote le 28 février. Comme le révélait la secrétaire générale adjointe de la Confédération européenne des syndicats Isabelle Schömann dans une interview accordée à mind RH le 6 mars, la présidence belge du Conseil a redoublé d’efforts pour arracher un compromis. Elle a proposé ces dernières heures un texte allégé qui relèverait les...
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