Si le projet de loi est adopté, les entreprises cotées en bourse et soumises aux lois de la cogestion, ainsi que les grandes entreprises contrôlées par l’Etat, devront compter pour la première fois au moins une femme au sein de leur directoire si ce dernier possède plus de trois membres. Par ailleurs, les membres du directoire pourront plus facilement prendre un congé maternité, un congé parental ou des congés pour s’occuper d’un parent dépendant.
Environ cinq mois après l’adoption par le gouvernement allemand d’un projet de loi sur un quota de femmes dans les conseils d’administration des grandes entreprises (v. dépêche n°12296), les groupes parlementaires des partis conservateurs (CDU/CSU) et du parti social-démocrate (SPD) se sont mis d’accord, le 28 mai, sur les détails de cette future loi pour la féminisation des comités exécutifs. Le projet de loi devrait être adopté le 11 juin prochain en deuxième et troisième lecture par le...
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