de T-Mobile aux USA, il y a une dizaine d’années, le CWA et Verdi essayent d’établir des représentations syndicales au sein des diverses unités de l’entreprise qui s’affiche comme le 4e opérateur de téléphonie mobile aux USA. Pour y parvenir, la loi américaine impose qu’au moins 50 % des salariés d’une unité se prononcent en faveur d’une représentation syndicale. Jusqu’à présent, chez T-Mobile, une seule unité de 15 personnes y est parvenue alors que l’entreprise emploie actuellement un peu pl
…Allemagne : Verdi repart en guerre contre T-Mobile USA (Deutsche Telekom), accusé d’utiliser la « terreur psychologique » contre les salariés voulant se syndiquer
Des syndicats en échec depuis 2001. Depuis l’arrivée de T-Mobile aux USA, il y a une dizaine d’années, le CWA et Verdi essayent d’établir des représentations syndicales au sein des diverses unités de l’entreprise qui s’affiche comme le 4e opérateur de téléphonie mobile aux USA. Pour y parvenir, la loi américaine impose qu’au moins 50 % des salariés d’une unité se prononcent en faveur d’une représentation syndicale. Jusqu’à présent, chez T-Mobile, une seule unité de 15 personnes y est parvenue alors que l’entreprise emploie actuellement un peu plus de 30 000 personnes. Pour le syndicaliste Lothar Schröder, qui revient d’une tournée d’un mois aux USA, il ne fait pas de doute que le management de l’entreprise met tout en œuvre pour intimider les salariés et les empêcher d’adhérer au CWA. Selon lui, l’entreprise à une gestion du personnel « tyrannique » et faire régner la « terreur psychologique ».
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