« Si les Danois travaillaient 1700 heures par an (comme les Finlandais, par exemple), cela équivaudrait à 200.000 emplois supplémentaires », calcule Mads Lundby Hansen, économiste en chef au Centre danois d’études politiques (CEPOS), un think-tank libéral créé en 2004. « Les Danois ne travaillent pas davantage alors que le pays souffre d’une pénurie de main d’œuvre : il y a des goulots d’étranglement, les entreprises n’arrivent plus à trouver de personnel », déplore-t-il. Les impôts constitueraient le principal frein au travail, selon lui. « 40% des actifs sont imposés à 63%, le plafond. Le Danemark affiche le quatrième taux d’imposition le plus élevé au monde. Il faudrait baisser le plafond d’imposition à 43%, comme aux Etats-Unis ou en Suisse, pour inciter les Danois à travailler davantage », indique-t-il.
Les Danois ne travaillent pas davantage alors que le pays souffre d’une pénurie de main d’œuvre : il y a des goulots d’étranglement, les entreprises n’arrivent plus à trouver de personnel », déplore-t-il. Les impôts constitueraient le principal frein au travail, selon lui. « 40% des actifs sont imposés à 63%, le plafond. Le Danemark affiche le quatrième taux d’imposition le plus élevé au monde. Il faudrait baisser le plafond d’imposition à 43%, comme aux Etats-Unis ou en Suisse, pour inciter le
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