Environ 1 000 conducteurs de la très médiatique entreprise de transport de tourisme avec chauffeur Uber ont levé le pied pendant 24 heures le 6 juin à Birmingham pour dénoncer la baisse, sans concertation, des tarifs des courses. Cette semaine, des protestations similaires ont aussi été émises par l'association des conducteurs du groupe en Nouvelle-Zélande
Ils ne sont pas salariés, rarement syndiqués, et pourtant la colère monte. Alors que les prix de leurs courses ont été réduits sans les consulter, des centaines de chauffeurs travaillant pour l’américain Uber se sont mis en grève lundi à Birmingham, dans le centre de l’Angleterre. Selon ces manifestants, leur salaire a été fortement impacté par cette baisse des tarifs décidée sans concertation par la compagnie de VTC. Ces conducteurs – qui restent des travailleurs indépendants...
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