Réunie la semaine dernière pour la première fois depuis 2019, la Flexible Working Task Force, créée en 2018 par l’ancienne Premier Ministre Theresa May, a du pain sur la planche. La vingtaine d’organisations syndicales ou d’entreprises qui la compose – dont la confédération syndicale TUC, la confédération patronale CBI, l’expert en RH Chartered Institute of Personnel and Development (CIPD) ou encore le service d’arbitrage Acas – doit publier au plus vite un nouveau guide à l’attention des emplo
…Grande-Bretagne : Londres envisage de soutenir le travail hybride après la pandémie
La Flexible Working Task Force vient d'être sommée par le gouvernement de publier dans les six mois - et si possible dès le retour des salariés au bureau qui pourrait intervenir à la mi-juin - un nouveau guide pour les employeurs en faveur du maintien partiel du télétravail post-pandémie. L'objectif de l'exécutif semble ainsi d'ancrer le travail flexible dans la vie quotidienne des salariés tout en régulant son impact. Et, ce, même si la majorité des entreprises estiment pour l'instant que le télétravail n'a pas affecté leur productivité et a globalement contribué au bien-être salarial.
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