L’histoire commence en décembre 2005, lorsque l’une des 6 confédérations syndicales hongroises, LIGA, organise un rallie juste devant l’usine Suzuki d’Esztergom. Avec le slogan suivant : « NOS VOITURES-NOS TRAVAILLEURS », la confédération réclame l’amélioration des conditions de travail pour le personnel de l’usine. Elle y fait alors une nouvelle recrue, Mr Zsolt Parma, qui après l'évènement reprend contact avec elle. De retour du 10ème congrès de la centrale syndicale où il avait été invité, l’employé recrute à son tour parmi ses collègues : en très peu de temps, 68 employés de l’usine adhèrent à LIGA et ce en dépit des tentatives de dissuasion de la part de la direction. En effet, cette dernière est intervenue à plusieurs reprises pour tenter d'imposer le contrôle des correspondances bilingues, pour exiger d'être informée des réunions au moins 5 jours à l'avance ainsi que la transmission des informations sur les adhérents.
Publication
25 janvier 2006 à 09h38
Mis à jour le 17 mars 2013 à 20h13
Temps de lecture
2 minutes
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25 janvier 2006 à 09h38, Mis à jour le 17 mars 2013 à 20h13
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pour tenter d’imposer le contrôle des correspondances bilingues, pour exiger d’être informée des réunions au moins 5 jours à l’avance ainsi que la transmission des informations sur les adhérents.
La perspective de l’inauguration du syndicat le 13 janvier rend la direction encore plus nerveuse, elle refuse d’assurer la sécurité de l’évènement, s’oppose à ce que le syndicat utilise l’adresse de l’usine et interdit à M. Parma de se servir de son mail pour ses actions syndicales. Le vendredi...