L’accord signé le 6 octobre par le géant italien de l’alimentaire (environ 7 000 salariés en Italie) et les syndicats Flai-Cgil, Fai-Cisl et Uila, consacre une large place à la digitalisation et à la formation dans le cadre du projet “Smart Factory”, étendant une série de pratiques aux ouvriers. L’accord améliore également la conciliation vie professionnelle-vie privée et consacre la politique de ”tolérance zéro” envers les discriminations, notamment celles de genre.
Ferrero a lancé le projet “Smart Factory” (dont le site historique de Alba, dans le Piémont, est le point de référence européen), basé sur la digitalisation des processus de production et la “participation active et responsable de tous les salariés”. Dans ce cadre, l’accord, valable jusqu’à juillet 2026, prévoit d’étendre à la population ouvrière l’accès à “l’écosystème digital” pour le moment réservé aux “cols blancs”. Cela concerne les outils basiques (mails, Microsoft Teams), la...
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