L’expérience durant la phase d’urgence sanitaire ayant été jugée positive, Fincantieri et les syndicats FIOM-Cgil, FIM-Cisl et UILM ont signé le 17 juillet un accord structurel, qui ouvre la possibilité d’accéder au travail agile à 1 950 employés et cadres intermédiaires des bureaux et des chantiers. L’accord prévoit un jour de travail agile par semaine – davantage dans certains cas, notamment pour les parents – et s’inscrit dans une logique de changement de l’organisation du travail, visant notamment à augmenter l’autonomie des salariés et la productivité de l’entreprise.
L’accord, qui prévoit une mise en place progressive, est valable un an à partir du moment où il sera à plein régime, et une évaluation régulière permettra d’en observer les résultats.
Un outil pour augmenter le bien-être et l’autonomie des salariés mais aussi la productivité. Le préambule de l’accord est intéressant, parce qu’il inscrit le travail agile – souvent réduit à un simple télétravail – dans une dimension de changement de l’organisation du travail. Avec le smart working, les...
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