Depuis l’échec de la Présidence britannique sur le sujet, l’Autriche a lancé un marathon de rencontres bilatérales pour sortir de l’enlisement la discussion sur le projet de directive sur l’aménagement du temps de travail. C’était sans compter sur l’émergence d’une nouvelle question, qui vient s’ajouter au problème déjà épineux de l’opt-out : celle de l’application des dispositions de la directive au travailleur ou au contrat de travail.
Le flou entretenu par la directive de 1993 sur le...