Cette tendance, liée à la crise et à la forte montée du chômage cette année aux Pays-Bas, pourrait remettre en question une pratique courante chez les employeurs. Ces derniers, en effet, préfèrent aller devant la justice pour avoir des procédures de licenciement plus rapides et effectives. L’autre voie, administrative, s’avère moins coûteuse mais prend plus de temps, six mois en moyenne, et comporte un plus grand risque de refus du licenciement par l’assurance-chômage (UWV), réputée favorable aux salariés. Ces tendances sont désormais inversées, avec seulement 9,3 % de refus des licenciements soumis à l’UWV cette année et 36 110 licenciements autorisés depuis janvier. Jan Meijer, responsable du département juridique de l’UWV, met en garde contre les conclusions hâtives que l’on pourrait tirer de ces pourcentages. L’essentiel des licenciements économiques est traité par l’UWV, tandis que les licenciements pour motifs personnels sont plutôt portés en justice.
enciements soumis à l’UWV cette année et 36 110 licenciements autorisés depuis janvier. Jan Meijer, responsable du département juridique de l’UWV, met en garde contre les conclusions hâtives que l’on pourrait tirer de ces pourcentages. L’essentiel des licenciements économiques est traité par l’UWV, tandis que les licenciements pour motifs personnels sont plutôt portés en justice.
Les juges seraient plus enclins à refuser des licenciements à cause de la récession, qui pousse les employés à contes
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