Adopté il y a deux ans pour flexibiliser les embauches, le code du Travail roumain a été durement critiqué par une étude de l'Organisation internationale du travail (OIT) lancée le 10 octobre à Bucarest. Le document presse notamment le gouvernement de modifier sa législation sociale, indiquant que les réformes effectuées en 2011 se sont faites « au détriment du partenariat social, de la négociation collective et la qualité de l'emploi ». (Réf. 130615)
La suppression des conventions collectives de branche, la priorité à l’embauche en CDD ou encore à l’allongement des périodes d’essai et de préavis – prévus par la dernière réforme du code du Travail (v. dépêches n°110354 et 110202) empêchent un rapport équilibré entre employeurs et employés, précise cette étude. Parmi les principales conséquences dénoncées par l’OIT, la baisse des adhésions syndicales rendant difficile la représentativité des organisations salariales pour les négociations au n
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