Au lendemain de l'annonce à la presse par le PDG du groupe anglo-néerlandais, Patrick Cescau, de la suppression en quatre ans de 20 000 emplois situés principalement en Europe, le CE européen a rendu publique une déclaration dans laquelle il se déclare prêt « à se battre dans chaque usine pour chaque emploi ». Le comité restreint du CE européen doit rencontrer la direction le 4 septembre. La fédération syndicale européenne du secteur agro-alimentaire (EFFAT) prévoit d’organiser une réunion de coordination des représentants syndicaux du groupe « pour décider de quelle réponse syndicale apporter à cette restructuration ». (Réf. 070675)
20 000 emplois en 4 ans, soit 11 % de son effectif mondial, dans 50 sites qui seraient principalement situés en Europe. La nouvelle a été annoncée à la presse le 2 août par le PDG du groupe Unilever, Patrick Cescau, dans le cadre de la séance de questions/réponses qui a succédé à la présentation des résultats trimestriels. Estimant que cette information « va bien au-delà de celle fournie jusqu’à présent aux les représentants des salariés européens », le CE européen a immédiatement réagi par une
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