Ce sont les seules annonces qui ont pu rassurer quelque peu les patrons, alors que son discours très attendu est resté globalement assez évasif, se concentrant sur ce qu’elle espère encore obtenir comme accord commercial. Sur ce point précis, Theresa May a rejeté définitivement le modèle canadien et le modèle norvégien et appelé encore une fois à sortir du marché unique pour inventer un nouveau lien fort qui maintiendrait tout de même des partenariats dans certains secteurs (santé, services, tr
…En bref, Theresa May évoque un accord de mobilité pour les travailleurs (Brexit)
Présentant ce vendredi 2 mars sa vision du "futur partenariat" (future partnership) post-Brexit qu'elle espère mettre en place avec l'Europe, la Première Ministre britannique a évoqué clairement pour la première fois sa volonté d'instaurer un accord de mobilité pour les salariés (labour mobility agreement) entre l'UE et la Grande-Bretagne qui serait mis en place au moins dans le domaine des services. "Nous voulons limiter le nombre de barrières qui pourraient empêcher les entreprises britanniques de s'installer en Europe et vice versa", a-t-elle souligné, plaidant pour "un réseau de mobilité professionnelle permettant aux entreprises britanniques et aux travailleurs indépendants de se déplacer en Europe". La Première Ministre a également fait part de son intention de faire en sorte que les qualifications et diplômes britanniques et européens soient toujours reconnus après le divorce.
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