51,9% des Britanniques ont dit non à l'Europe lors d'un référendum historique, plongeant le Royaume-Uni et ses entreprises dans l'incertitude. La négociation de sortie de l'UE risque de prendre des années et devrait fortement secouer l'économie britannique.
«Le Royaume-Uni devra accepter d’être considéré comme un Etat tiers, que l’on ne caressera pas dans le sens du poil» : ces propos acides prononcées fin mai par le président de la Commission Européenne Jean-Claude Juncker donnent le ton de la nouvelle page historique que le Royaume-Uni va devoir écrire, alors que le non à l’Europe l’a emporté à 51,9% lors du référendum du 23 juin. Un résultat surprise, qui a d’ailleurs entraîné la chute du Premier Ministre David Cameron, qui a promis de...
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