Axa et son comité européen de groupe (CEG) ont signé le 27 novembre une charte qui fixe des principes encadrant le déploiement de l’IA et garantit un dialogue social sur le sujet dans chacune des entités de la société d’assurance (118 000 salariés dans le monde). Pascale Rauline, secrétaire depuis 2024 de l’instance qui compte 50 délégués, a répondu aux questions de mind RH sur la genèse et l’application du texte.
Antoine Piel : Où se situe le comité européen du groupe Axa (CEG) en matière de dialogue social sur l’IA ?
Pascale Rauline :
Le comité européen accompagne la transformation numérique depuis 15 ans. C’était déjà une transformation significative. Le secrétaire de l’époque parlait d’une technologie qui évolue très vite avec beaucoup de craintes sur l’emploi.
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