À l’origine de la proposition, la Commission s’est appuyée sur un double constat : « Seules 2 500 des 42 000 grandes entreprises européennes publient formellement des informations non-financières de manière annuelle », et «les informations publiées par les entreprises ne répondent pas de manière adéquate aux besoins des utilisateurs ». « Les incitations du marché semblent insuffisantes, malgré l'augmentation de la demande pour l'information non-financière. Les réponses réglementaires, tant au niveau européen que national, n'ont pas répondu de manière efficace à ce problème », rapporte la Commission dans le projet de texte soumis à consultation inter-services le mois dernier, et qui pourrait être amendé avant son adoption prévue pour le 28 novembre. « Après avoir considéré un certain nombre d'options pour améliorer la situation actuelle, l'option retenue a été celle de renforcer les obligations existantes, en demandant une déclaration non-financière dans le rapport de gestion. Il est nécessaire d'établir un minimum d'exigences juridiques sur l'étendue des informations qui doivent être rendues publiques. », conclut le texte.
Publication
20 novembre 2012 à 09h19
Mis à jour le 27 février 2014 à 20h27
Temps de lecture
7 minutes
Publication:
20 novembre 2012 à 09h19, Mis à jour le 27 février 2014 à 20h27
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dernier, et qui pourrait être amendé avant son adoption prévue pour le 28 novembre. « Après avoir considéré un certain nombre d’options pour améliorer la situation actuelle, l’option retenue a été celle de renforcer les obligations existantes, en demandant une déclaration non-financière dans le rapport de gestion. Il est nécessaire d’établir un minimum d’exigences juridiques sur l’étendue des informations qui doivent être rendues publiques. », conclut le texte.
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