Accueil » Pratique RH » Stellantis met ses usines à l’arrêt au Mexique et au Canada en réaction à l’augmentation des tarifs douaniers américains Stellantis met ses usines à l’arrêt au Mexique et au Canada en réaction à l’augmentation des tarifs douaniers américains Le constructeur automobile Stellantis a annoncé le 3 avril l'arrêt temporaire de la production dans ses usines d’assemblage au Mexique et au Canada. En cause, les droits de douane de 25% imposés par le gouvernement américain sur les véhicules et pièces importés. Durant les fermetures, les salariés seront affectés à la maintenance ou seront en formation. Ces mesures impliquent toutefois environ 900 licenciements dans plusieurs usines américaines. Par Nathalie Tran. Publié le 07 avril 2025 à 11h23 - Mis à jour le 07 avril 2025 à 11h23 Ressources Après l’instauration de droits de douanes de 25% sur les véhicules importés par les États-Unis, le responsable des activités américaines de Stellantis Antonio Filosa a décidé de suspendre l’activité de plusieurs sites. “Les mesures immédiates que nous devons prendre comprennent l’arrêt temporaire de la production dans certaines de nos usines d’assemblage canadiennes et mexicaines,… Nathalie Tran Emploi Besoin d’informations complémentaires ? Contactez le service d’études à la demande de mind Quel service voulez-vous contacter :La rédactionLe service commercialLe support techniquePrénomNomOrganisationFonctionCourriel* Objet du messageVotre messageRGPD J’accepte la politique de confidentialité.URLCe champ n’est utilisé qu’à des fins de validation et devrait rester inchangé. Essentiels Synthèse et historique de tous les contenus sur une thématique suivie en détails par la rédaction les derniers publications L’allongement des carrières, une nouvelle donne pour les entreprises CSRD : le marché du reporting social et environnemental se structure Analyses & Data Synthèse et historique de tous les contenus sur une thématique suivie en détails par la rédaction les derniers publications Congé de paternité : 41 pays à la loupe [data] UE : cinq États membres ont revalorisé leur salaire minimum au cours du premier semestre 2022