Revue d’actualité du 24 novembre 2016

Au menu : la ministre du Travail allemande veut permettre aux entreprises de tester le travail flexible, premier revers du gouvernement minoritaire du premier ministre espagnol sur le salaire minimum, un projet de directive sur le traitement précoce des entreprises en difficulté,  intensification de la bataille judiciaire pour les droits des travailleurs au sein de la «gig economy» au UK, accord des institutions communautaires sur les minerais du sang et augmentation du salaire minimum en Hongrie. 

Par . Publié le 23 novembre 2016 à 16h45 - Mis à jour le 25 novembre 2016 à 16h09

Allemagne/ La ministre du Travail veut permettre aux entreprises de tester le travail flexible. Lors d’une interview accordée à la Frankfurter Allgemeine Zeitung (19.11), Andrea Nahles, ministre des Affaires sociales et du Travail, a annoncé vouloir créer les conditions d’une nouvelle flexibilité du temps de travail, pour répondre à un souhait exprimé à la fois par les entreprises et les salariés. Pour ce faire, la ministre a l’intention d’introduire à titre expérimental des clauses d’exception dans la Loi sur le temps de travail qui permettront aux entreprises de déroger à la loi sous certaines conditions. Ces exceptions devront faire l’objet d’un accord collectif, négocié par les partenaires sociaux. Elles devront être limitées à une période de deux ans et faire l’objet d’un suivi scientifique. À titre d’exemple, la ministre a cité Bosch qui permet à ses salariés de quitter plus tôt leur poste pour s’occuper de proches et de reprendre le travail en soirée.…

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